Méthodes d’évaluation du confort et de la qualité d’un environnement intérieur clos

WIT
SAINT LAURENT DU VAR
Réalisé par : GRIMALDI Thibaud
Promotion : 2011
En France, près de la moitié de l’énergie finale est consommée dans le secteur tertiaire et résidentiel. Cette énergie est principalement utilisée afin d’assurer une bonne qualité de l’environnement intérieur pour les occupants. Cependant, comment peut-on vérifier que le confort assuré par un bâtiment répond aux exigences des utilisateurs ?

Selon la norme EN 15251, les exigences des occupants se résument en quatre catégories : le confort thermique, la qualité de l’air, le confort visuel et le confort acoustique.

Le confort thermique peut être évalué par deux indicateurs : le Vote Prévisible Moyen (PMV), traduisant le ressenti des occupants vis-à-vis des conditions thermiques, et le Pourcentage Prévisible d’Insatisfaits (PPD).
L’évaluation de la qualité de l’air passe par la mesure des concentrations en polluants contenus dans l’air intérieur. Ces polluants ont généralement des effets nocifs pour la santé et dégradent le confort des personnes.
Le confort visuel et le confort acoustique sont plus difficilement évaluables. Cependant, il est tout de même possible de mesurer l’éclairement et le niveau sonore au sein d’une pièce et de comparer ces mesures aux seuils fixés par la norme citée ci-avant.

La connaissance de tous ces indicateurs permet de savoir comment les conditions intérieures sont ressenties par les occupants. Bien entendu, plus il y aura d’instruments de mesure installés au sein du bâtiment, plus l’évaluation de la qualité de l’environnement intérieur sera précise.


Mots-clés : Confort, environnement intérieur, qualité de l’air, confort thermique, confort visuel, confort acoustique, Vote Prévisible Moyen, Pourcentage Prévisible d’Insatisfaits.